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compte tenu des services à effectuer en mer (quart à la machine et service journalier) les distractions se faisaient rares, cela dépendait aussi de l'état de la mer, par mer calme certains d'entre nous fins pêcheurs (1), ce n'était pas mon cas, laissaient traîner une ligne à l'arrière du bâtiment, pour ma part j'adorais me mettre sur l'aileron de la passerelle avec l'homme de quart pour admirer le paysage surtout par mauvais temps, mais comme mécanicien on avait du mal à s'y faire admettre,
- par mer calme en dehors du service nous nous regroupions sur la plage arrière pour nous reposer mais suivant la direction des vents qui rabattait les fumées d'échappements cela n'était pas très agréable,
(1) un jour le bosco mis une ligne à trainer, retournant à ses occupations il fut appelé pour la tirer hors de l'eau car il y avait de l'agitation à son extrémité, le bosco fier à l'idée de sa future prise découvrit une boite de conserve percée, il en fut vexé, |
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